Les anciens conseillers électoraux sont l’objet de fortunes diverses
Les anciens conseillers électoraux, y compris ceux qui n’avaient pas été l’objet de mandats d’amener, sont tous l’objet de mesures conservatoires impliquant l’interdiction de quitter le pays.
Le conseiller Ribel Pierre, qui avait tenté de quitter le pays samedi dernier, semble être l’objet d’une disposition spéciale. Un reporter de radio Métropole a constaté la présence d’une patrouille de la Police devant la résidence de l’ex conseiller. Les policiers, affectés au commissariat de Delmas, se sont refusés à tout commentaires au sujet de leur mission.
Ribel Pierre assure qu’il a été placé en résidence surveillée et dénonce ” des persécutions politiques”.
De son coté l’ex conseillère électorale Laurette Croyance n’a pas voulu faire de commentaires sur la situation. Mme Croyance n’a pas été placée en résidence surveillée. Au contraire de Ribel Pierre, elle avait répondu une convocation du commissaire du gouvernement et n’avait pas tenté de quitter le pays après la dissolution du CEP.
Elle dit comprendre les dispositions visant à récupérer les biens de l’Etat tout en espérant que les personnes ayant remis les matériels pourront recouvrer leur totale liberté dans un bref délai.
L’ancienne représentante de l’église Episcopale faisait référence aux véhicules mis à la disposition des conseillers. Une source proche du CEP avait indiqué en début de semaine, à radio Métropole que M. Gaillot Dorsinvil avait remis les 5 véhicules qu’il avait en sa possession. L’ex conseiller Antenor Guerrier a remis ses véhicules tandis que Lionel Raphaël, qui se dit en convalescence a l’étranger garde encore une des trois véhicules de service. D’autres conseillers dont Ribel Pierre et Jacques Belzinc n’auraient pas encore remis les véhicules de service.
Ces matériels sont en piteux état, rapporte cette source du CEP qui signale que des batteries différentes ont été retrouvées dans ces véhicules.
LLM / radio Métropole Haïti
Just like the situation with Bellerive when he served as an election official under Aristide.
He had several Land Cruisers from the election organization. These disappeared and no one knew where they went.
Then, under Latortue, the PNH discovered them in the Dominican Republic. They had been sold by his girlfriend/wife or secret service contact. When the Haitians pressed for a resolution, Dominican authorities squelched the issue and it was forgotten, yet again.
Mr Collins, you should give your source of information. Otherwise, this is fantasy, pure speculations.
Ronald St Preux- What news organization gives their sources? Be realistic in your critiques.