D’ailleurs – au cas où vous auriez raté le mouvement subtil – la bouche d’incendie = le DR.
Comment Haïti peut-il survivre alors que les États-Unis font tout ce qu’ils peuvent pour nous détruire?
En 1991, Aristide a été expulsé de la présidence comme un bouton mûr entre deux doigts.
Il n’y a pas eu de coup d’État!
Les Haïtiens collectivement en avaient assez du gouvernement violent et incompétent d’Aristide. Les Américains le savaient, mais Aristide avait donné des millions à de nombreux membres de l’équipe Clinton, à Jessie Jackson et au Congressional Black Caucus.
La période Cedras de 1991 à 1994 a été marquée par une stabilité croissante et aurait permis la tenue d’élections dignes de ce nom si les Américains avaient tenu leurs promesses.
En 1994, les Américains ont promis de recycler et de rééquiper nos Forces armées d’Haïti, pour agir comme une force compensatrice face à la prise de pouvoir prévisible d’Aristide à son retour.
Puis ils sont restés les bras croisés pendant qu’Aristide brisait le FadH le 18 novembre 1994 et qu’il s’emparait du pouvoir dictatorial pour lui-même et pour René Préval ?
La communauté internationale a soutenu la création de la PNH. Le Canada et les États-Unis forment de nouveaux officiers, mais restent les bras croisés tandis qu’Aristide licencie tout le personnel formé au Canada et aux États-Unis. Aristide n’acceptait que ceux qui lui juraient fidélité.
En 2000, Aristide a contrôlé les élections, a contraint le président du CEP, Manus, à l’exil, alors qu’il n’a pas tenu ses promesses, et s’est emparé du pouvoir dictatorial lors d’élections de décembre 2000 au cours desquelles, selon certains, seulement 20 000 personnes ont voté.
IL N’Y AVAIT AUCUN OBSERVATEUR ÉTRANGER.
En 2004, les Américains ont soutenu Guy Philippe dans une démarche réussie visant à destituer Aristide. Le président Bush a décerné à Guy la Médaille du service distingué – un honneur inhabituel pour un étranger.
En 2017, Guy Philippe a été élu au Sénat d’Haïti et est devenu une menace pour l’équipe Aristide/Préval/Privert. Il a été kidnappé et condamné aux États-Unis pour des motifs douteux. Blanchiment d’argent, alors que l’argent provenait en réalité de la vente d’un bien immobilier à Pestel. Il a été transféré via SOGEBANK aux États-Unis pour acheter un condo pour Natalie, l’épouse de Guy. Sans le FadH pour maintenir la sécurité, les gangs ont effectivement maîtrisé la nation. Des armes et des munitions illégales sont introduites clandestinement en Haïti en toute impunité.
La PNH n’est pas en mesure de relever le défi et des milliers d’agents de la PNH profitent du programme BIDEN PAROLE pour entrer aux États-Unis. Cela a réduit par milliers les effectifs effectifs de la PNH.
Le président Moise a été assassiné et aucune mesure réelle et efficace pour résoudre ce crime n’a été prise.
Haïti a un Premier ministre qui vient de prendre le contrôle et refuse de nommer un véritable cabinet.
L’argent semble toujours être l’approche américaine pour résoudre les problèmes, sans superviser la manière dont l’argent est utilisé. Nous avons vu des millions injectés dans divers ministères, pour ensuite être volés par les ministres concernés ou par les chefs politiques qui contrôlent les ministères. L’ONA, le fonds de pension national, a été pillé.
Comme c’est la coutume, les ministères sont confiés à des dirigeants politiques. Ils pillent le trésor. Edmunde Beauzile a obtenu un nombre incroyable de 1 700 voix lors de sa candidature à la présidentielle. Elle contrôle désormais le ministère des Travaux publics et a volé des millions !!!
Elle n’est pas seule !
Nesmy Manigat a pillé le ministère de l’Éducation, condamnant ainsi notre système scolaire.
Il est temps pour nos amis américains de réfléchir au désastre qui s’accélère.
Mettez les 100 000 000 $ désormais consacrés au fiasco kenyan dans les infrastructures d’Haïti, mais faites attention à quoi ils servent. Retirez les visas pour quiconque vole des fonds.
Et la communauté internationale doit accepter cette réalité croissante. La majorité massive et ignorée d’Haïti est sur le point de choisir Guy Philippe comme chef. C’était également la réalité, en 2017, lorsque Privert l’a fait kidnapper et vendre aux États-Unis.
Guy Philippe est considéré comme la solution aux problèmes d’Haïti.
