Quand les pouvoirs exécutif et législatif se laissent tenter par des dépenses excessives, elle les rappelle à l’ordre en promouvant une certaine rationalité des dépenses publiques.
L’ancienne ministre l’a confirmé : son rôle était très ingrat. Car, il est facile de prôner haut et fort le changement mais quand il faut passer à l’acte, quand il s’agit de réforme visant la transparence en matière d’allocation des fonds budgétaires et de la passation des marchés publics, on perd le soutien politique de son propre gouvernement, s’il faut croire MCJM.
Pourquoi une démission si tout était si rose? se demande alors le chef de l’État avant d’y répondre lui-même : « Parfois cela arrive: un malentendu, une mauvaise interprétation, une décision rapide.» Mais elle aurait pu me voir, me parler, affirme le président. Double jeu ? Le chef de l’État indique que sa relation reste intacte avec MCJM qui « continue d’identifier là où il y a des lacunes, là où on doit avancer ». On peut tenir une relation de travail, une relation honnête, renchérit le Président. Le mot honnête est peut-être à souligner !
Une cohabitation harmonieuse salutaire