Je ne m’étendrai pas sur le sujet traitant des militaires qui luttent pour leur rétablissement dans leurs droits. Je ne veux pas le faire pour éviter d’aller sur sentier battu car je crois avoir sinon tout dit du moins je pense m’être assez prononcé sur l’essentiel qui se résume en termes clairs que ces hommes qui ont réintégré leurs lieux de travail ( leurs postes) sont des militaires encore en fonction vu qu’ils ont été tout simplement et arbitrairement rendus inopérants par une décision inconstitutionnelle nulle et non avenue prise par un chef d’État incapable de maîtriser sa colère. Ceci étant dit: nous voulons attirer l’attention du Président Michel MARTELLY sur le danger imminent qui guette l’avenir du pays, sur le bain de sang qui peut endeuiller la patrie si jamais il ne s’oppose pas à toute forme d’intervention de troupes étrangères dans ce cas d’espèce qui doit être solutionné par la voie du dialogue ou mieux par l’armée elle-même. Le Président MARTELLY, s’il veut résoudre le problème, devra , comme nous avons conseillé, nommer un commandant en chef de l’armée et par la même occasion créer un État major chargé de prendre l’Institution en main aux fins de sa restructuration et de sa modernisation. Ainsi il aura la latitude de référer quiconque voudrait être renseigné sur la question à cet État Major qui sera des lors l’instance chargée de diriger les affaires relatives aux forces armées d’Haïti. ‘’À L’ARMÉE CE QUI EST À L’ARMÉE’. Là-dessus, il n’y a pas lieu de s’alarmer ni de tergiverser. Il devra agir vite, avec lucidité et pondération sinon c’est possible qu’il se retrouve en situation de ne pas pouvoir contrôler les événements à dimensions imprévisibles et alarmantes. La création immédiate de l’État major sera un premier pas majeur appelé à calmer les esprits surchauffés. Le reste viendra après et par surcroit. Dans la résolution de ce problème épineux à traiter le plus tôt que possible, j’invite le Président de la République à prendre lecture de deux textes écrits et signés par votre serviteur : Dans ‘’UNE SITUATION EXTREMEMENT DIFFICILE’’ et dans ‘’MUTINERIE DE MILITAIRES’’, le chef de l’État pourra puiser des réflexions susceptibles de le permettre de bien instrumenter, de le guider, de l’orienter dans ses prises de décisions d’extrême importance pour la vie de la nation. Ces deux articles sont disponibles sur mon blog. Il suffit d’aller sur GOOGLE et dans la barre: écrire LECHAPEAUTEUR pour avoir accès à plusieurs de mes écrits. QUE DIEU SOIT AVEC NOS DIRIGEANTS ET LES INSPIRE AFIN QU’ILS PUISSENT AU MOINS ÉCOUTER . QUE DIEU BENISSE HAITI ET SES ENFANTS. Maurice CELESTIN – LECHAPEAUTEUR yvonsurpris@gmail.com
Port-au-Prince, Haiti WI twitter: @yvonsurpris http://www.facebook.com/groups/victimedesduvalier/ Les bandes armées et faux Militaires démobilisés ont déclaré que Georges Racine un américain d’origine haïtienne est le chef des Militaires démobilisés qui assure la coordination pour le compte de Michel Martelly
Georges Racine citoyen américain, secrétaire d’état à l’intérieur serait le patron des militaires démobilisés. En effet il est non seulement le bras financier mais aussi c’est de lui que ces hommes en treillis militaires retrouves un peu partout à travers le pays reçoivent directement leurs ordres. C’est-ce qu’a déclaré certains des miliciens roses mécontents de l’ordre d’évacuation reçu cette semaine. A suivre….
Sent: Thursday, May 3, 2012 11:26:19 AM
Subject: [Forum culturel] Des hommes en treillis, lancent un ultimatum au Gouvernement de Martelly pour le 18 Mai
Haïti – Sécurité : Des hommes en treillis, lancent un ultimatum au Gouvernement 03/05/2012 10:04:23
Alors que le Gouvernement haïtien tente de trouver une solution pacifique à la situation des individus [estimés entre 2,000 et 3,000] qui occupent illégalement les anciennes bases militaires, certains bâtiments publics et qui ne cessent de défier ouvertement l’État, en circulant de plus en plus souvent dans les rues, en treillis et souvent lourdement armés ; un groupe d’« ex-FAd’H », a lancé un Ultimatum au Chef de l’État, dont la date limite est le 18 mai, pour tenter de forcer le Président Martelly, à respecter ses promesses de réinstaurer l’armée. Lors d’une conférence de presse récente, Larose Aubin, un ancien sergent de l’armée avait déclaré « Nous ne sommes pas des blagueurs […] Nous allons venir avec force et avec la population, et nous obtiendrons ce que nous recherchons. Même si nous perdons nos vies, nous allons nous battre. Ils ne peuvent pas tous nous tuer. » Dans cette crise, la Minustah est perçue, par une grande partie de la population, comme une force d’occupation et aspire à disposer de sa propre armée. Une Minustah qui envisage tous les scénarios, y compris l’emploi de la force, une option à haut risque comme l’a souligné l’historien Georges Michel, membre de la Commission d’État d’Organisation de la composante militaire de la Force Publique créée par le Président Martelly « […] les soldats rebelles sont plus populaires que les soldats de la Paix des Nations Unies […] Les gens sont avec eux […] Ce serait une catastrophe majeure pour le Président Martelly s’il fait appelle à la Minustah pour sévir contre eux. Ils seront considérés comme des héros et Martelly comme le méchant. Alors une solution pacifique et politique doit être trouvée. »
Les analyses de la Minustah laisse à penser que le groupe n’est pas très bien armé. Toutefois, interrogé pour savoir si son groupe avait accès à un armement suffisant, Yves Jeudy, un ancien sergent des ex FAd’H a répondu « Nous sommes militaires […] Et vous savez ce qu’un militaire peut faire […] Après le 18 mai, si le gouvernement n’a rien fait, ils verront ce qui se passe. Nous n’allons pas faire marche arrière et ils doivent nous donner une réponse rapide. Nous manquons de patience, » tandis que des hommes scandaient « La liberté ou la mort… »
Le paiement des arriérés de soldes aux ex-militaires des FAd’H, par le Gouvernement, ne semble pas avoir désamorcer la crise ni calmé les esprits et la situation demeure hautement explosive. Quel que soit le nombre de ces individus déterminés, qui semblent vouloir aller jusqu’au bout pour faire respecter ce qu’ils appellent « leurs droits », le pays n’a vraiment pas besoin d’une confrontation, sous les regard du monde, à un moment où tous les efforts sont déployés pour changer l’image de notre pays et convaincre les investisseurs qu’Haïti est ouverte au affaires.
http://www.haitilibre.com/article-5548-haiti-securite-des-hommes-en-treillis-lancent-un-ultimatum-au-gouvernement.html — Vous recevez ce message du “Forum Culturel Haitien”. Pour participer, envoyez vos messages a forumculturel@googlegroups.com Pour plus d’informations et options, visitez nous a: http://groups.google.com/group/forumculturel?hl=en Pour resilier, envoyez un e-mail a l’adresse forumculturel+unsuscribe@googlegroups.com