LET HE WHO HATH NO SIN CAST THE FIRST STONE

Alors que des rumeurs persistantes font croire qu’il aurait contracté un prêt de 108 millions de gourdes qu’il devrait rembourser sur une période de 20 ans à l’ONA, l’ancien président du sénat de la république, Carl Murat Cantave s’inscrit en faux contre ces allégations en affirmant qu’il n’est pas un emprunteur de l’ONA.

À aucun moment, l’ex sénateur n’a pas contracté de prêt à l’ONA, ces allégations visent à ternir l’image de l’ex parlementaire, a indiqué le bureau politique de L’ancien élu de l’Artibonite, dans une note parue ce lundi 05 juillet 2021.

«Ces ragots qui visent à ternir l’image de l’Ex-sénateur pour les raisons que vous pouvez comprendre ont été à maintes fois infirmés tant en séance plénière au sénat qu’à travers la Presse et les réseaux sociaux mais ils continuent méchamment à être diffusés», a souligné le bureau politique de Carl Murat Cantave.

Si les formulateurs sont sérieux, qu’ils ne se contentent pas d’empoisonner les esprits avec cette virtualité, qu’ils s’assument à travers des preuves dûment établies et documentées par l’ONA, a poursuivi ce bureau dans la note.

Pour plus d’un, l’ONA est une institution publique où regne la corruption. On reproche à cette institution d’assurance d’être au service des plus capables. Des rumeurs font croire que plusieurs hauts dignitaires de l’État ont contracté des prêts à faible intérêt et sur de longues années. Quelques d’entre eux n’ont jamais honoré leur engagement.

Dans la même veine, l’ULCC a lancé des enquêtes sur quelques de ses dignitaires dont le Dr. Pierre Réginald Boulos. Ce dernier, ayant boudé une convocation de l’ULCC la semaine écoulée a été frappé d’un ordre de recherche. L’ULCC enquête sur le détournement d’un million de dollars américains par la société Réal Business Investment appartenant à Réginald Boulos dans le cadre d’un projet de construction de logements sociaux à Fermathe depuis en 2018. Une démarche soutenue par l’ONA.

Rappelons que le directoire du parti MTVAYITI présidé par l’homme d’affaire Réginald Boulos assimile la démarche de l’ULCC à de la persécution politique.

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