Le voleur Franck Cine mentait gravement sur les ondes de la Radio Kiskeya a l’Emmission “dim ma di’w” de 2h30 PM à 4hPM animé par Marvel Dandin aujourd’hui 22 Mai 2013.ce voleur,jaloux du succes du premier ministre a lancé des diffamations graves.
L’escroc Franck Cine a lancé ouvertement des propos mensongers tres graves.Il a accusé faussement le premier ministre Laurent Lamothe d’avoir accaparé des hectares de terre evaluant à 25 millions de dollars à Bon Repos. Et le pire,le voleur Franck Cine a fait une fausse declaration disant que le premier ministre a donné l’autorisation aux espagnols de jeter des dechets toxiques sur les terres à Bon Repos. Maintenant,le voleur Franck Ciné sera assigné .Que le voleur qui doit plus de des dizaines de millions de dollars US aux clients de la Haitel qui ont deposé plus de 2000 plaintes rentrer en Haiti pour les rembourser.Et il va donner le noms des espagnols et le nom des dechets toxiques.Car ces mensonges sont trop graves pou etre acceptés ou tolerés.
C’est rendu public l’état des créances de la faillite de la Haitel SA, de Franck N. Ciné et de son épouse Marie Ginette Jacque,s s’élèvant à plus de 12 milliards de gourdes et à plus de 95 millions de dollars américains.
Selon le document, “Le tribunal de Première Instance de Port-au-Prince, siégeant en ses attributions commerciales, a rendu en date du 4 juillet 2012 un jugement prononçant la faillite de la Haïti télécommunications internationales S.A. (Haïtel S.A.), du sieur Franck N.Ciné et de son épouse née Marie Ginette Jacques, selon le procès-verbal de dépôt de l’état des créances dues par les faillis (Haïtel S.A., Franck Ciné et son épouse Marie Ginette Jacques). Leurs créances (dettes) en gourdes s’élèvent à 2 milliards 635 millions 975 mille 605. 28, et en dollars américains à 95 millions 109 mille 705.23″.
R.S
Haitel : la vente aux enchères !
La première compagnie de téléphonie mobile en Haïti, La Haitel, n’existe plus. Une ordonnance de justice prononcée à son encontre vient de tuer tous les espoirs en son éventuelle réhabilitation.
27/05/2013
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La première compagnie de téléphonie mobile en Haïti, La Haitel, n’existe plus. Une ordonnance de justice prononcée à son encontre vient de tuer tous les espoirs en son éventuelle réhabilitation.
Au cours d’une conférence de presse conjointe tenue ce lundi 27 mai, les titulaires de la DGI et du Conatel ont fait le point sur la question. Un an après que la Haitel eut fermé ses portes pour faillite frauduleuse, soit le 29 mars 2012, une décision de justice exécutoire, demande la vente aux enchères de ses biens. Une ordonnance qui devra être opérationnelle, le 12 juin prochain.
Selon le directeur général de la DGI, M. Jean Baptiste Clark Neptune, seulement quatre des biens de cette compagnie ont pu être saisis et de fait seront vendus. Et pour cause, M. Neptune accuse le manque de coopération des responsables de la Haitel. Aussi, dit-il, les autorités compétentes poursuivent les recherches afin que la Haitel puisse restituer à l’État haïtien une dette évaluée à plus de 95 millions de dollars américains et plus de deux milliards de gourdes.
M. Neptune en profite pour rappeler les raisons qui ont conduit au processus de la disparition de la Haitel. Tout a commencé, raconte-t-il, quand les actionnaires minoritaires de cette compagnie, privés de leur dividende pendant une période de sept mois, ont produit par devant le commissaire du gouvernement une demande de mise sous séquestre de la Haitel.
Le Directeur générale souligne, par ailleurs, que la Haitel ne disposait pas de licence. C’est la Téléco, précise-t-il, qui lui avait octroyé un droit de fonctionnement sous sa licence. Lequel droit lui a été enlevé par la Téléco et le MTPTC pour cause de cessation de paiement.
La fréquence de la seule compagnie haïtienne de téléphonie mobile qui existait en Haïti devra aussi être vendue aux enchères. Une question d’intérêt public se pose alors : Comment empêcher aux deux seuls opérateurs sur le marché de s’adjuger cette fréquence ? Interrogé à ce propos, M. Jean-Marie Guillaume, le directeur général du Conatel, affirme sans pouvoir convaincre, que des dispositions seront prises pour empêcher cela.
La faillite provoquée de la Haitel joint à l’acquisition de Voila par la Digicel privent le secteur des télécommunications de deux opérateurs. Le marché est aujourd’hui réduit à deux compagnies : La Natcom et la Digicel notamment qui en occupe plus de 80%.