AFFAIRE JEAN DOMINIQUE: IL Y A UN AN ARISTIDE ESSAYAIT D’INTIMIDER LE JUGE D’INSTRUCTION IVICKEL DABRESIL ET LA PRESSE

Jean Dominique and his killer Aristide

Aristide se comportait toujours comme s’il vivait dans une théocratie. En tant que leader suprême il n’avait aucune question a répondre. Il est au dessus des institutions et des lois de la république. Chez nous pour ce genre de comportement et d’attitude on préfère utiliser les mots dictature et dictateur.


Quand en Janvier 2013 le Commissaire du Gouvernement Lucmane Dellile le convoqua dans la scandale de corruption des coopératives Aristide força le Commissaire a venir chez lui pour démontrer qu’il était le chef, le leader suprême qui est au dessus des lois et des institutions d’Haiti. Pour plus de details klike la: http://www.alterpresse.org/spip.php?article13915#.UZRoKGDgIzY

Jean Bertrand Aristide essaya de faire la meme chose avec le Juge d’Instruction Ivickel Dabresil dans le cadre de l’enquête pour identifier qui a tue le journaliste Jean Dominique le 3 Avril 2000. Devant la resistance du Juge qui l’avait convoque Aristide mit dans les rues le 7 Mai 2013 300 chimères pour intimider le juge d’Instruction. Pour plus de details klike la: http://lematinhaiti.com/contenu.php?idtexte=35715&idtypetexte

A cause de ce dossier d’enquete les chimeres d’Aristide ont aussi attaque la presse en 2013. Pour plus de détails klike sou 2 liens sa yo:

Le Juge d’Instruction refusa de se laisser intimider. Aristide fut force de se présenter devant le juge pour répondre aux questions. Ce comportement d’Aristide fut très mal reçu par la population qui se demandait pourquoi ne voualit-il pas collaborer? Est-ce qu’il avait quelque chose a cacher dans l’assassinat du journaliste Jean Dominique? Pourquoi ces intimidations contre le Juge Dabresil alors qu’avant lui l’ancien President Preval et l’ancien Premier Ministre Yvon Neptune avaient fait le déplacement pour répondre aux questions du juge?

Quelques mois plus tard la conclusion de l’enquete a travers le rapport du Juge d’instruction Ivickel Dabresil apportera plus de lumière. Neuf personnes, dont des proches de l’ancien président Jean-Bertrand Aristide, seront officiellement inculpées dans le dossier de l’assassinat le 3 avril 2000, du directeur de Radio Haïti Inter, Jean Léopold Dominique, et d’un gardien de la station, Jean-Claude Louissaint. Ce sont: La sénatrice Mirlande Libérus Pavert, résidant actuellement aux Etats-Unis, ex-responsable de la Fondation Aristide pour la démocratie et très proche de l’ancien président Lavalas, est considérée comme l’auteure intellectuelle de l’acte, La prêtresse du vodou Annette Auguste, alias Sô Ann, militante lavalas, l’ancien maire adjoint de la capitale Gabriel Harold Sévère, les nommés Frantz Camille alias Franco Camille, Jeudy Jean Daniel, Markington Philippe, Mérité et Dimsley Milien, Toussaint Mercidieu. Pour plus de details klike la: http://radiokiskeya.com/spip.php?article9968

Cette semaine un an apres les intimidations de Jean Bertrand Aristide contre le juge nous apprenons qu’un des presumes assassins Markington Philippe a ete arrete en Argentine. Pour plus de details klike la: http://lenouvelliste.com/lenouvelliste/article/130425/Un-suspect-dans-lassassinat-du-journaliste-Jean-Dominique-detenu-en-Argentine.html

En attendant dans la philosophie Lavalas qui les place au dessus des lois et des institutions de la republique les avocats Lavalas ont demande la mise a l’ecart des juges de la Cour d’Appel qui probablement pour Lavalas sont trop petits pour juger les presumes assassins.

Haiti-Justice : Aristide auditionné en sa résidence en présence de ses avocats

mercredi 9 janvier 2013

P-au-P., 9 janv. 2013 [AlterPresse] — L’audition de l’ancien président Jean-Betrand Aristide, par le commissaire du gouvernement Lucmane Delille, a eu lieu dans la matinée de ce 9 janvier 2013, dans la résidence de l’ex chef d’État à Tabarre et en présence de ses avocats, a confirmé l’un d’entre eux pour AlterPresse.

Jean Bertrand Aristide est accusé d’abus de confiance, d’escroquerie et de vol notamment par Rosemond Jean, de la Coordination nationale des sociétaires victimes des coopératives (Conasovic) et Sony Thelusma alias Ti Sony, ancien pensionnaire de Lafanmi se Lavi, le foyer fondé par Aristide pour des enfants en situation difficile.

Aristide aurait été auditionné brièvement chez lui pour raison de sécurité.

C’était la deuxième convocation faite par le parquet à Aristide. Le 3 janvier 2013, évoquant des vices de forme dans la procédure, les avocats et l’ancien président ne se sont pas présentés au parquet.

Tôt ce mercredi 9 janvier 2013, l’un des avocats de l’ancien chef d’État, Me Newton St Juste, avait informé à AlterPresse que ses collègues et lui étaient en route pour quérir leur client en vue de se présenter au parquet du tribunal civil de Port-au-Prince.

Les plans ont dû rapidement changer, alors qu’un millier de partisans et sympathisants d’Aristide étaient massés aux abords du parquet.

La tension montait et les grilles ont été verrouillées devant le risque d’invasion de la cour du bâtiment, a constaté AlterPresse.

Des voix dont celle du président du sénat, Dieuseul Simon Desras, et du sénateur John Joël Joseph, se sont élevées contre cette invitation qui, selon elles, frôlent « la persécution politique ».

Le chef de l’État, Joseph Michel Martelly, a, pour sa part, rejeté toute implication de son administration dans cette affaire. Toutefois, Martelly estime que personne n’est au-dessus de la loi.

Et le tollé sur cette invitation continue de défrayer la chronique, alors que la justice haïtienne n’a toujours pas rendu sa décision sur certains dossiers épineux.

Il s’agit particulièrement du cas de Jean-Claude Duvalier (détenteur d’un passeport diplomatique peu de jours avant que la cour d’appel statue sur son cas), de l’incarcération pour kidnapping et association de malfaiteurs du riche homme d’affaires Clifford Brandt et du viol présumé de MeJosué Pierre-Louis sur sa jeune subordonnée, Marie Danielle Bernadin. [efd kft gp apr 09/01/2013 11:00]

Nouvelle journée de tension à Port-au-Prince
Plusieurs rues de la Capitale haïtienne étaient bloquées le mardi 7 mai dans la matinée. Des pneus enflammés, de grosses pierres et de monticules d’immondices ont été renversés sur les chaussées.
07/05/2013
Plusieurs rues de la Capitale haïtienne étaient bloquées le mardi 7 mai dans la matinée. Des pneus enflammés, de grosses pierres et de monticules d’immondices ont été renversés sur les chaussées. Selon certains témoins, il s’agissait d’un mouvement initié par des militants lavalas. Ces derniers entendaient ainsi dénoncer la convocation de Jean Bertrand Aristide au Cabinet du juge d’instruction Yvickel Dabrézil au tour du dossier de l’assassinat de Jean Léopold Dominique. Les manifestants en ont profité pour réclamer justice en faveur des proches du policier Jean Richard Hertz Cayo récemment assassiné à Carrefour-Feuilles. WPC/LM
05/10 2013

L’Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH) est consternée et scandalisée par l’agression physique perpétrée contre le journaliste Frantz Henry Délice de Radio-Télé Ginen, suite à l’audition de l’ancien Président Jean-Bertrand Aristide au cabinet d’instruction le mercredi 8 mai dernier. L’ANMH déplore et condamne cette attitude d’intolérance.

L’ANMH déplore et condamne du même coup, l’acte de vandalisme par les manifestants supporteurs de l’ancien Président Aristide contre le véhicule de Radio-Télé Ginen.

La liberté de la presse est le fruit d’un long combat du peuple haïtien et aucun groupe, aucun secteur de notre société, sous aucun prétexte ne saurait remettre en question les prérogatives constitutionnelles des médias qui doivent en tout moment et en tout lieu, avoir plein et entier accès d’exercer le devoir d’informer.

La Constitution et les lois de la République garantissent le pluralisme idéologique qui est l’un des fondements de la démocratie représentative. Les médias, même s’ils sont contraints  à la neutralité et à l’impartialité qui les mettent à l’abri des passions et des rivalités de groupe, n’échappent pas cependant à la dynamique sociale pouvant créer des perceptions positives ou négatives de positionnement dans un clan ou dans un autre.

L’Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH) se rappelle des nombreux événements malheureux survenus sous la présidence de Jean Bertrand Aristide de 2001 à 2004. Elle invite toute la corporation à la vigilance et à la défense des espaces de conquête de libertés acquises de hautes luttes.

L’ANMH appelle les médias dans leur diversité à faire échec aux tenants du délit d’informer. C’est le professionnalisme de la presse qui nous prémunira contre toute prétention de maintenir les médias dans la dynamique de l’intimidation des régimes répressifs hier aujourd’hui ou demain.

Liliane Pierre-Paul

Présidente

L’ancien président Aristide aurait ordonné l’assassinat de Jean Dominique/Neuf inculpations, dont celle de Mirlande Libérus Pavert, très proche de l’ancien leader lavalas

Publié le vendredi 17 janvier 2014

Neuf personnes, dont des proches de l’ancien président Jean-Bertrand Aristide, ont été officiellement inculpées dans le dossier de l’assassinat le 3 avril 2000, du directeur de Radio Haïti Inter, Jean Léopold Dominique, et d’un gardien de la station, Jean-Claude Louissaint.

La sénatrice Mirlande Libérus Pavert, résidant actuellement aux Etats-Unis, ex-responsable de la Fondation Aristide pour la démocratie et très proche de l’ancien président Lavalas, est considérée comme l’auteure intellectuelle de l’acte quoique, dans le rapport du magistrat, il est précisé que des témoins-clé, dont l’ex-chef de la sécurité de M. Aristide, Oriel Jean, ont affirmé au Cabinet d’Instruction que ce dernier avait déclaré en leur présence que Mme Libérus avait pour mission de réduire Jean Dominique au silence pour qu’il n’ait pas à contrarier son projet de retour au pouvoir en l’année 2000.

La prêtresse du vodou Annette Auguste, alias Sô Ann, militante lavalas alliée actuellement au président Michel J. Martelly, l’ancien maire adjoint de la capitale Gabriel Harold Sévère, les nommés Frantz Camille alias Franco Camille, Jeudy Jean Daniel, Markenton Michel, Mérité et Dimsley Milien, Toussaint Mercidieu figurent sur la liste des inculpés.

Dans le rapport du juge, Jean-Bertrand Aristide et son ex-chef de sécurité Oriel Jean, sont considérés comme des témoins importants. [jmd/RK]

Un suspect dans l’assassinat du journaliste Jean Dominique détenu en Argentine

Le Nouvelliste | Publié le : 29 avril 2014

Les autorités argentines ont arrêté et détenu Markington Philippe , un suspect dans l’assassinat, il y a quatorze ans, du plus célèbre journaliste et commentateur politique haitien, Jean Léopold Dominique et du gardien de la radio, Jean- Claude Louissaint. L’organisation haïtienne de défense de la liberté de la presse, SOS Journalistes, a confirmé mardi l’information auprès des autorités haïtiennes et argentines compétentes, lesquelles sont en train de coopérer en vue d’extrader Philippe vers Haïti. Le secrétaire général de SOS Journalistes et président d’une commission qui travaille sur les cas de journalistes assassinés en Haïti depuis l’année 2000, Joseph Guyler C. Delva, a exprimé sa satisfaction après l’arrestation de Markington Philippe. “C’est une étape très importante dans l’enquête . Il est évident que nous nous rapprochons de plus en plus d’une résolution de cet horrible dossier d’assassinat,” a déclaré Joseph Guyler C. Delva. Dominique – qui a été très critique à l’égard de l’ancien président Jean- Bertrand Aristide et d’autres secteurs puissants – a été abattu le 3 avril 2000, dans la cour de sa station, Radio Haïti Inter. “Nous voulons que les autorités policières et judiciaires aillent jusqu’au bout de l’enquête afin de juger et de condamner les assassins, parce que c’est un moyen efficace de lutter contre l’impunité,” a déclaré Delva. “Si les criminels ne sont pas jugés et condamnés, ces derniers et d’autres prédateurs potentiels de la liberté de la presse pourront croire qu’un permis de tuer leur a été accordé,” a averti Delva. Philippe, qui avait la réputation d’être un proche allié de l’ancien président Jean- Bertrand Aristide au moment de l’assassinat de Jean Dominique, a pris refuge en Argentine dans un effort d’échapper à la justice. Le juge d’instruction Ivickel Dabrezil a émis l’an dernier un mandat d’arrêt international qui a finalement été exécuté par Interpol. Comme demandé par le juge Dabrezil, des efforts sont également en cours pour extrader quatre autres suspects vivant à l’étranger, y compris Mirlande Libérus qui vit aux États-Unis. Libérus, un ancien sénateur sous le parti Fanmi Lavalas d’Aristide , a été présentée comme le cerveau du crime, alors que des témoins qui ont témoigné sous serment devant le juge ont indiqué qu’elle aurait reçu des ordres de l’ancien président Aristide. Le juge Dabrezil a publié , à la fin de l’année dernière, un rapport dans lequel il a ciblé neuf suspects qu’il a présentés comme auteurs de l’assassinat de Jean Dominique. Les suspects, à travers leurs avocats, ont récusé tous les magistrats de la cour d’appel de la capitale et n’ont pas cessé d’essayer d’obtenir le transfert de l’affaire par-devant une cour d’appel de la province, dans un effort de dilatoire. L’affaire est maintenant devant la Cour de cassation d’Haïti, qui est appelée à se prononcer rapidement sur le dossier pour éviter de nouveaux retards dans le processus qui doit conduire aux résultats définitifs de l’enquête et au procès criminel prévu.

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